C'est ici, dans ce cadre idyllique
Que je viens me fondre dans la nature
Dans cette incroyable villégiature
Vit un monde fantastique
Étonnant, à l'orée du bois,
Comme un coup de crayon,
Le soleil, tombe en un rayon
Traversant les arbres,
Comme pour prévenir ; "on ne passe pas"
Puis, à peine franchit
Totalement éblouit
Dans les feuillages s'élevant
Le bruissement du vent
Tel un message étourdissant
Le chant des anges murmurant
Balaye sur mon passage
Les feuilles tombées en pèlerinage
Plus à l'intérieur,
La lumière se fait lueur
Et les chants d'oiseaux
Merveilleux échos
Là, tout est mélodieux
A presque voir les elfes
Voler en secret
Et à bien écouter ...
Dans le silence de cette forêt,
On peut en son âme éveillée
Aux sons cristallins goûter
Aux parfums de chlorophylle ambrée
Et en cette nature s'élever
Arrivée en bordure de rivière
L'eau s'écoule en délicats clapotis
Cette délicieuse atmosphère
Vient vous caresser l'esprit
Cette délicieuse atmosphère
Vient vous caresser l'esprit
Aux mille reflets étincelants
De ces ondes apaisantes
On se laisse agréablement bercer
Par les flots légers
En concerto avec les oiseaux
On se laisse agréablement bercer
Par les flots légers
En concerto avec les oiseaux
Même les fées jouent à cache à cache
Entre les branches et les feuillus
Il faut y croire pour les voir
Moi, je sais... Je les ai vues !
Mon âme d'enfant n'a pas quitté ce lieu
Et mon cœur en est toujours amoureux
La belle offrande que nous offre cette nature
Mon âme s'y régénère et la capture
Je parle à la faune et la flore
Ce don du ciel est un trésor
Ne vous étonnez pas si j'entends
Les anges et leurs louanges
Ne vous étonnez pas si j'entends
Les anges et leurs louanges
On dit que c'est le diable qui a déposé
Au milieu de cette forêt enchantée
Un rocher au visage sculpté
Les sorcières aussi l'ont hanté !
Les sorcières aussi l'ont hanté !
N'est-ce pas une jolie légende ?
Depuis plus rien ne dérange
Car les gardiens sont les archanges
Depuis plus rien ne dérange
Car les gardiens sont les archanges
Ce bois magique est en Belgique
Et on le nomme "Caillou qui bique"...
Tout le plaisir du calme de la forêt...
RépondreSupprimerÔ oui Ma... Vraiment ! Ce silence olympien j'adore ...
SupprimerMerci à toi, beau week-end, bisous, Laureen