L'atrium des galaxies baignant les célestes
Aux longs cheveux d or et d'argent
Qui parfois s'évadent en nocturne prouesse
Emportées sur leur carrosse éblouissant
Odyssée magicienne dévoilant l'infini du ciel
Quand pégase de ses impériales ailes
Redessine l'étincelle évanouie
De cette triste et sombre vie
Esquissant au passage l'incroyable paysage
Sous la voûte millénaire où brillent toutes ces lumières
Comment ne pas imaginer, seulement penser
Que nous sommes seuls dans cette immensité ?
Quelque part, dans des mondes parallèles
Des âmes s'enflamment de "je t'aime"
Flammes jumelles ou entités d'ailleurs
Peu importe, puisque tous ces cœurs
Illuminent la toile incandescente de ces lueurs d'amour
Que l'on contemple avec émoi chaque jour
Iridescentes pensées que nos cœurs ont choyées
A la saveur de ce rêve envoûtant d'éternité
Laissez-vous éblouir par ces rêves
Retrouvez votre âme d'enfant
Cette essence, cette puissante sève
Qui brille en vous tel un diamant
Quand le ciel vous appelle
Au chant des Perséides
Le monde parallèle
Se fait plus limpide ...
Au chant des Perséides
Le monde parallèle
Se fait plus limpide ...
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© Elea Laureen
Tous droits réservés
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DPP 9262-47598
° Et si la vie était une étoile filante
Traversant une sombre éternité,
Chacun aurait le loisir de la faire briller à sa guise.°
~ Tonino Benacquista ~
Extrait Recueil ; Odyssée d'une fée
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