Démyélinisées
Dans ma tête, s’entêtent
Des images imparfaites
A l’allure trouble-fêtes
Qui me rend stupéfaite !
Dans cet incroyable cerveau
Coulent à flots
De mots à maux,
En Tetris et Lego …
Dans mes cellules « démyél »
Excellant les pensées cruelles
Celles dont la peur interpelle
Qui la nuit retient le sommeil
Dans mes pupilles émeraudes
Brillent la tristesse et l’envie
De ces instincts qu’on oublie
En cristal de larmes mauve…
Au tic tac de l’aiguille
La substance d’une vie
S’étiole doucement
Se dénerve inlassablement
Créant un univers perturbant
Jouant avec les sens innés
Un cerveau désormais illuminé
Reflet d’un futur angoissant.
✿ღ✿
06.01.17 Copyright © Elea Laureen
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Chère Laurence la nuit envolez-vous loin de ces miasmes morbide aurait dit Baudelaire pour des citées de rêve ou règne la douceur et l'amour inconditionnel.
RépondreSupprimerUn très joli conseil... Merci Baudelaire ! La nuit quand le sommeil arrive enfin on oublie ses douleurs et tout va bien jusqu'au réveil ... Mais le moral est bon, il le faut ! Bises cher Pierre
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