mardi 4 septembre 2018

*Ton Corps de Paillettes d'Or




Je couvrirai ton corps de paillettes d'or
Ma reine, ma déesse, ma muse
Pour toi, mon plus beau trésor
Ma reine, ma déesse, ma muse
Je t'aimerai jusqu'à la mort
Quoique tu dises, quoique que tu refuses
Je t'aimerai jusqu'à la mort
Mon cœur, mon âme t'appartiennent
Ma reine et plus encore !
Mon cœur, mon âme t'appartiennent
Sans toi, la vie n'a ni nuances ni chaleur
Tu es le sang qui coule dans mes veines
Sans toi, la vie n'a ni nuances ni chaleur
Je combattrai l'univers et te conterai merveilles
Une couronne d'étoiles en porte-bonheur
Je combattrai l'univers et te conterai merveilles
Et couvrirai ton corps de paillettes d'or
D'étincelles d'amour en ode de toujours
Je couvrirai ton corps de paillettes d'or
Ma reine, ma déesse, ma muse
Pour qu'à jamais tu sois, mon seul trésor

✿ღ✿


© Elea Laureen, 2018
Tous droits réservés
DPP 6624-37424

Photographie : Violetta Doněckaja

samedi 1 septembre 2018

*Bleu de Méthylène




Sublime symbiose
En totale osmose
Grandiose
•°•
La belle et la bête
Se reflètent
De leurs silhouettes
•°•
Quand dans ce ballet
La douce sirène
Explose en phosphène
•°•
Le bleu de méthylène
De cette fidèle
Baleine
•°•
En symétrie audacieuse
Aérienne et gracieuse
D'une onde somptueuse
•°•
A l'écho presque irréel
De cette magie fusionnelle
L'émotion providentielle
En apnée sensorielle
•°•
Nous laisse fascinés
Voire éclaboussés
Du plus spectaculaire
Des atmosphères

 ♡☆♡

© Elea Laureen, 2018
Tous droits protégés

Image © Shaw Heinrichs

"La grâce est toujours unie à la magnificence
dans les scènes de la nature"

~ Chateaubriand ~



mercredi 29 août 2018

Ma Poésie, cette Endorphine



Dans la nausée des matinées
Dans la brume nocturne
Quand la douleur importune
A n'en savoir plus respirer
C'est dans l'intense silence 
Que je m'enfonce et m'isole
Figée par cette camisole
Ce corps en souffrance
Et loin de toute effervescence
J'en oublie cette vie
Et me console des conséquences
Qui ont créé ces anomalies
Alors, je m'endors épuisée
De l'insomnie travestie
Puis, je me réveille
Vers un autre jour qui m'appelle
L'esprit reposé a retrouvé l'envie
Et derrière cette maladie
Je ne vous oublie pas
J'écris sans voix
Mais j'écris encore
Pour vous, je colore
Cette vie de maux 
En mots indolores
Ma poésie, cette endorphine
Que je devine sibylline

✿ღ✿

© Elea Laureen
Tous droits protégés

Image du Net

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