Défi du Jour ; Jardin des mots d'ABC
"Les oiseaux bavardaient gaiement,
comme s'ils picoraient les vestiges de la nuit"
comme s'ils picoraient les vestiges de la nuit"
(dernière phrase du livre : "La papeterie Tsubaki d'Ogawa Ito).
Cette citation sera la dernière phrase de votre texte.
A l'aube hélianthine
Quand l'été se peaufine
Sous l'ombrelle voilée
De la douce Séléné
𝄋
Quand l'été se peaufine
Sous l'ombrelle voilée
De la douce Séléné
𝄋
Dans la campagne profonde
Qu'un coucher de soleil inonde
Fusaient ici et là les murmures
D'un silence sans ratures
Qu'un coucher de soleil inonde
Fusaient ici et là les murmures
D'un silence sans ratures
𝄋
Et je goûtais insatiable à l'exquis
De ces petits trésors de vie
Qui, dans une parenthèse suspendue
Accrochaient mon âme à l'absolu
De ces petits trésors de vie
Qui, dans une parenthèse suspendue
Accrochaient mon âme à l'absolu
𝄋
Pendant que Nyx déposant en son nid
Les lumineuses, qui s'iriseront intensément
Les oiseaux bavardaient gaiement
Comme s'ils picoraient les vestiges de la nuit
Les lumineuses, qui s'iriseront intensément
Les oiseaux bavardaient gaiement
Comme s'ils picoraient les vestiges de la nuit
☙⚝❧
2025 © Elea Laureen
Texte protégé
DPP 10622-53023
DPP 10622-53023
Bonjour chère Elea, comme toujours magnifiques poèmes et illustrations. Vive les oiseaux qui nous apportent tant quand on peut les entendre chanter. Jolie relaxatio aussi. Je t'embrasse et pardon pour mon retard de visite et de validations sur mon blog.
RépondreSupprimerBonsoir ma chère Fleur,
SupprimerMerci pour ton adorable appréciation qui me ravit ! Ca me fait toujours plaisir de te lire ... Je pense bien à toi ma douce ... Plein de bisous printaniers fleuris de mes plus affectueuses pensées ... A bientôt ma tendre amie, que cette semaine soit douce, Laureen