que j'ai écrit cette poésie, le cœur débordant de bonheur,
Plus d'un mois de soleil partout à l'horizon
Les fourmis nourrissent des milliers de pucerons
Espèrent chaque soir une goutte de raison
Qui viendrait bénir la nature en souffrance
Ô ciel bleu azur, entend leur doléance
N'imaginons même pas la terrible brûlure
Qu'endurent chaque jour, champs et jardins
Et l'ombre implacable de l'envergure
Volants et rampants, perdus
Dans le feu de l'omerta
L'eau est un besoin absolu !
Vient électriser l'atmosphère
Bénissant cette terre de sa pluie d'humeur
La nature alors reprend vigueur
Retentissent ces volubiles éthers
Chants célestes exaltés
Rendant grâce à l'univers
☙⚝❧
DPP 9633-49320
– un réseau d’organismes différents qui entre eux partagent aussi des affects."