jeudi 20 avril 2017

On zappe...



D'un clic, on fait croire qu'on est ami,
D'un clic, dans le dos, le pire est dit,
D'un clic, la jalousie vous rend ennemi,
D'un clic, on vous oublie,
Et pourtant, dans ce monde virtuel,
A quoi bon chercher querelle ?

On a tous une vie, mais peut-être
Que certains êtres
Prennent plaisir à faire le mal
D'un simple clic, car ils s'ennuient
Ou par pure jalousie !
Comment connaître leur jeu fatal ?

Sur cette toile pourtant,
On a tous le droit à la liberté
D'expression et c'est un plaisir
De partager entre confidents,

De près ou de loin,
Contacts ou amitiés,
Créent des liens,
Des affiliés ...

On partage des musiques,
Et ça, c'est fantastique,
On écrit de la poésie,
Sur la beauté de la vie...

Mais quand certains copient,
Là, ce n'est pas autorisé,
Honteux celui qui se permet
D'outrepasser ce droit
Et de se dire ami !


Et puis, y a ceux qui vous épient
Qui de profil en profil,
S'amusent et vous harcèlent

Sur les réseaux, c'est la grande panoplie
De tous ces brouteurs et pervers sans gêne

Oui sur les réseaux sociaux,
On trouve de belles âmes,
Mais on trouve aussi des profils faux,
Et c'est là que le clic est permis !

© Elea Laureen, 2017
Tous droits réservés


Ecrit en écho du poème 
"Clic" de Marianne Leitao Ecrivain & Médium

Image du Net

Pur Essentiel

Quand toi et moi
Sommes en émoi
C'est le frisson
Douces vibrations

De nos deux corps
Qui s'abandonnent
A l'unisson, fusionnent
En cœur à corps
Multicolore

Et dans l'essence
Nous fait violence
Dans un baiser
improvisé

Pour un voyage
Total espace
Un petit goût de miel
Pur essentiel...

2017 © Elea Laureen


Image du Net

mercredi 19 avril 2017

Le chant du silence

Sous le bruit de l'orage,
Passent les nuages,
Mélodieux gazouillis,
Étourdissants clapotis,

Rebondis en étincelles,
Reflets merveilles,
Éclaboussant la nature,
De ses perles de culture,

Et là, anéanti, seul, perdu, 
La pluie se fait défi
Une vision, un aperçu 
Elle, sa vie, son insomnie

Il doit lutter et courir
Tel un guépard
Et ainsi réussir à franchir
Le monde qui le sépare

Dans cette effervescence
Cette substance en nuance
Apparaît alors sa flamme
Celle qu'il recherche son idéal

Et le monde s'ébranle
Le vent se lève et chante
Emportant les poussières
Les gouttes et la matière

Cette force qui nous bouscule
Quand l'amour nous brûle
Embrase l'espace
Dans ses bras elle s'efface

Cette violence qui fait rage
Quand son absence le blesse
Dans l'univers, il la cherche
Et le vent chante sa frénésie

Quand il se réveille
Et que son corps disparaît
Incandescente et belle
Prémices du matin qui naît

© Elea Laureen 19.04.17




Ecriture automatique sur The Sound of Silence 
https://www.youtube.com/watch?v=_zKpOZSjdmU

Succès du Blog ...

*25 - L'immortalité, ce paradoxe !

Atelier d'Anne Maï   Volet XXV Défi du jour ; Liste 74 Légende, obstacle, accéder, silencieuse, intemporel, parallèle, progresser, immun...

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